Actuellement salarié, vous avez un projet de création ou de reprise d’entreprise ?  

Vous souhaitez suivre une formation pour exercer un nouveau métier ?  

Vous pouvez être éligible à la démission-reconversion et avoir droit au chômage.

Crédit photo : Freepik

Suis-je éligible à la démission-reconversion ?

Avant d’entamer votre processus de démission, assurez-vous de remplir toutes les conditions requises pour pouvoir bénéficier de l’allocation chômage : 

  • Être salarié en CDI du secteur privé au moment de la démission, à temps plein ou à temps partiel 
  • Avoir travaillé 1 300 jours durant les 5 dernières années 
  • Avoir un projet de reconversion bien élaboré et reconnu comme étant réel et sérieux 

Attention, si vous avez interrompu votre période d’activité en tant que salarié au profit de congés sans solde, sabbatiques ou de disponibilité. Cela vient compromettre votre éligibilité à la démission-reconversion.

Quelles étapes dois-je suivre pour y avoir droit ? 

Vous devez obligatoirement être accompagné dans le cadre d’un Conseil en Evolution Professionnelle (CEP) pour pouvoir faire votre demande de Démission-Reconversion. Ce service gratuit et personnalisé a pour objectif de mesurer la qualité et le sérieux de votre projet pour bénéficier d’une prise en charge financière. Celui-ci va vous aider à mettre en place votre projet professionnel, quel que soit son niveau d’avancement.

Le rendez-vous avec le CEP doit impérativement avoir lieu avant votre démission. Sinon, vous ne pourrez pas bénéficier de l’allocation d’Aide au Retour à l’Emploi (ARE). 

Ensuite, vous devez remplir un dossier de demande d’attestation du caractère réel et sérieux de votre projet professionnel avec le conseiller CEP et l’envoyer à la commission de validation, c’est-à-dire à une des Commissions Paritaires Interprofessionnelles Régionales (CPIR) également appelées « Transitions Pro » de votre région. 

Enfin, la commission statue sur votre dossier dans un délais de 2 mois.  

S’il est validé, il ne vous reste plus qu’à remettre votre lettre de démission et à vous inscrire à France Travail dans les 6 mois suivant la validation par la commission du projet de reconversion pour toucher l’allocation d’Aide au Retour à l’Emploi (ARE). France Travail s’assure du suivi et du bon déroulement de votre projet dans le cadre de votre Démission-Reconversion.  

Attention, votre demande d’attestation peut être refusée si votre projet n’est pas suffisamment construit et réfléchi. Toutefois, après révision, vous pouvez de nouveau présenter votre dossier.

Mon projet sera t’il considéré comme réel et sérieux ?

Plusieurs facteurs sont étudiés pour qualifier votre projet de réel et sérieux. Si vous avez pour ambition de créer ou de reprendre une entreprise, votre projet devra paraître suffisamment mûri en amont. Vous devez être en mesure de pouvoir répondre à des questions telles que : 

  • Quelles sont les caractéristiques du secteur d’activité dans lequel s’inscrit votre projet ? Comment le marché va-t-il évoluer ?  
  • Quelles sont vos besoins de financement pour concrétiser votre projet ? 
  • Quelles sont les ressources financières que vous pouvez investir ? 
  • Quelles sont vos moyens humains et techniques dont vous disposez ? 
  • Votre projet est-il viable, cohérent et pertinent ? 

Si c’est le cas et que vous remplissez les conditions d’éligibilité, ne tardez plus à déclencher votre processus de Démission-Reconversion.

Et ensuite ?

La CMA Bretagne organise des ateliers création d’entreprise gratuits. En 2 heures, découvrez pas à pas les étapes indispensables pour créer votre entreprise.

En 2022, 1 060 entreprises artisanales ont été reprises en Bretagne. Votre retraite approche ou vous avez d’autres projets ?  

Parce qu’une transmission d’entreprise se construit progressivement, la CMA Bretagne vous accompagne à chaque étape, pour faciliter la cession de votre entreprise. 

Découvrez sans plus attendre les 8 étapes pour transmettre votre entreprise artisanale en toute sérénité.

1. L’anticipation

Si vous êtes en train de lire cet article, c’est que vous songez déjà à transmettre votre entreprise. Il est dès à présent temps de réfléchir aux moyens que vous allez employer pour réussir sereinement cette opération. Anticiper votre transmission multiplie vos chances de trouver un successeur qualifié. Pour cela, il est recommandé d’être accompagné par des professionnels pour n’omettre aucun aspect lors de la cession de votre entreprise (financier, juridique, fiscal, administratif…). 

La CMA Bretagne organise des soirées “Transmission d’entreprise” pour vous aider à identifier les étapes importantes et les bonnes méthodes à suivre pour réussir la transmission de votre entreprise.

2. Le diagnostic

Etape essentielle de votre transmission, vous devez réaliser un diagnostic de l’état actuel de votre entreprise. Il est primordial d’être objectif, en valorisant ses forces et en étant transparent sur ses faiblesses.

De nouveau, il est recommandé de vous entourer de professionnels pour compléter votre diagnostic au niveau : 

  • Concurrentiel (marché, stratégie…) 
  • Juridique (contrat, assurances…) 
  • Financier (Chiffre d’affaires, Seuil de rentabilité, BFR) 
  • Humain (Effectif, organisation, compétences…) 
  • Technique (Outils professionnels, moyens disponibles) 
  • Qualité, Sécurité et Environnement 

Ce diagnostic peut être réalisé par un conseiller CMA qui mettra en place avec vous un plan d’actions à mettre en œuvre pour favoriser la vente de votre entreprise.

3. L’estimation de valeur

La valeur de votre entreprise doit être évaluée à partir du diagnostic de votre entreprise et doit tenir compte de la nature de votre activité, de la taille et de l’emplacement de votre entreprise, des éléments financiers, des biens matériels, immatériels…  

Plusieurs méthodes peuvent vous aider à estimer la valeur de votre entreprise : 

  • L’approche patrimoniale : votre entreprise vaut ce qu’elle a en sa possession
  • L’approche de rentabilité : votre entreprise vaut ce qu’elle rapportera
  • L’approche comparative : votre entreprise vaut ce que valent les autres

La CMA propose des ateliers transmission dans lesquels vous pouvez rencontrer tous les professionnels de la transmission (expert-comptable, banquier, juriste, conseiller CMA…) qui vont vous aider sur tous les aspects de la transmission à valoriser votre fonds d’artisanat.

4. Le mode de cession

Vous voulez céder votre entreprise mais avez-vous réfléchi au mode cession ?  

Vous pouvez transmettre votre entreprise à un membre de votre famille, à un ou plusieurs de vos salariés, à un ou des tiers.

Selon le mode de cession que vous envisagez la transmission peut être gratuite (donation, testament, donation-partage) ou payante (cession du titre, vente du fonds, location-gérance).

5. La présentation de l’entreprise

La rédaction d’un dossier de présentation de votre entreprise va vous servir d’argumentaire de vente et enclencher le dialogue avec votre repreneur puisqu’il pourra y trouver :

  • La présentation de l’historique et du ou des dirigeant(s) de l’entreprise
  • La présentation de l’activité, de la clientèle, des fournisseurs, de l’organisation interne, des moyens de production à disposition… 
  • La présentation des chiffres-clés de l’entreprise
  • Le mode de cession envisagé

Vous pouvez être accompagné par la CMA pour rédiger la présentation de votre entreprise.

6. La recherche d’un acquéreur

Vous devez faire savoir que vous cherchez à transmettre votre entreprise car un de vos collaborateurs (salariés, fournisseurs, clients) pourrait aussi être intéressé. L’annonce doit être bien rédigée pour présenter le mieux possible votre entreprise et convaincre des repreneurs d’en vouloir savoir davantage.

Vous pouvez bénéficier de l’aide de la CMA pour diffuser votre offre de cession d’entreprise et assurer la mise en relation avec vos futurs repreneurs. Des plateformes en ligne telles que Transentreprise répertorient des annonces de cession d’entreprise.

7. La négociation et la vente

La négociation est la conclusion de cette démarche de transmission et doit être un moment de discussion avec le repreneur. Vous devez trouver un accord sur le prix de la cession, le délai de la reprise, les conditions de la reprise, les termes du protocole d’accord…

Après mûre réflexion du repreneur et des négociations, les parties prenantes signent un protocole d’accord qui inscrit juridiquement et définitivement les accords précédemment convenus dans la lettre d’intention.

Pour finaliser la transmission, l’acte de cession doit être signé.

8. La passation

Vous pouvez accompagner le repreneur pendant une phase transitoire qui va permettre de terminer les dossiers en cours, faciliter la prise en main par le repreneur mais aussi l’adaptation de vos salariés. Cette phase de passation a un rôle essentiel dans la réussite d’une transmission d’entreprise. La durée de l’accompagnement est très variable selon la taille, les besoins de l’entreprise, l’expérience du repreneur… 


La transmission de votre entreprise est un processus complexe qui nécessite anticipation, préparation et accompagnement. En suivant ces étapes clés, vous maximisez vos chances de réussir cette transition tout en assurant la pérennité de votre entreprise. La Chambre des Métiers et de l’Artisanat de Bretagne est à vos côtés pour vous soutenir dans chaque phase, depuis le diagnostic initial jusqu’à la passation.

Pour approfondir ces conseils et en savoir plus sur les bonnes pratiques à adopter, nous vous proposons de télécharger notre livre blanc dédié à la transmission d’entreprise.

Boostez le trafic de votre site Internet et voyez votre notoriété augmenter ! En attirant davantage de visiteurs, vous ouvrez la porte à de nouvelles opportunités : capter l’attention de prospects intéressés par vos produits ou services, et renforcer les liens avec vos clients existants. Ne sous-estimez pas le pouvoir d’un site web dynamique et bien fréquenté pour développer votre entreprise !

Crédit photo : Freepik

Comment être visible en ligne ?

Le référencement naturel, aussi appelé SEO, regroupe un ensemble de techniques permettant d’être mieux référencé en ligne. Cette stratégie repose sur le choix de mots-clés adaptés et le suivi de règles de rédaction destinées au web. 

Pour que les visiteurs de votre site Internet apprécient leur expérience de navigation et aient envie de revenir, vos pages doivent être optimisées. Les aspects techniques et sémantiques doivent être soignés, tout comme l’ajout de liens internes intelligents.  

Pour vous aider à améliorer le référencement naturel de votre site via son back office, la CMA vous propose une formation et un audit personnalisé de votre site Internet.

Si vous avez d’ores et déjà mis à jour votre stratégie de référencement naturel et que les résultats n’atteignent pas vos attentes, vous pouvez opter pour de la publicité en ligne. Plusieurs options s’offrent alors à vous : 

  • Google Ads est un bon moyen pour vous positionner parmi les premiers résultats de Google grâce à l’achat de mots-clés. Pour obtenir plus d’informations, vous pouvez consulter notre webinaire sur le sujet.
  • Vous pouvez également profiter de la visibilité de certains autres sites à fort trafic en lien avec votre cœur de cible sur lesquels vous pouvez être mis en avant sous forme de bandeaux ou de bannières par exemple. 
  • Les réseaux sociaux comme Facebook ou Instagram, dorénavant utilisés par une large audience, peuvent aussi vous permettre de diffuser vos publicités de manière ciblée.  

En amont, prenez connaissance des modèles de coûts existants et des options publicitaires adaptées à votre objectif pour vous assurer de la rentabilité de ces publicités. 

La création ou la modification de votre fiche d’établissement Google est également un moyen de gagner en visibilité gratuitement sur le net. C’est d’autant plus important si vous êtes un artisan ou un commerçant et que vous ciblez une clientèle locale.

Comment faire pour attirer de nouveaux visiteurs sur mon site ?

Aujourd’hui, les réseaux sociaux sont une véritable vitrine pour votre activité et vont de pair avec votre site Internet. L’important n’est pas d’être présent sur tous les réseaux sociaux, mais sur ceux où vous trouverez votre cible !

Au-delà de la régularité des publications sur vos réseaux sociaux, il faut également veiller à ce que les contenus soient pertinents et suscitent de l’engagement auprès de vos clients ou prospects. Cherchez à connaître les besoins et les attentes de vos cibles pour leur partager des contenus utiles qui attireront leur curiosité, avec lesquels ils auront envie d’interagir, voire d’aller visiter votre site.

Comment fidéliser les visiteurs de mon site Internet ?

Les campagnes d’emailing peuvent être un bon moyen pour que vos contacts visitent de nouveau votre site Internet. Pour cela, vos emails doivent éveiller leur intérêt en proposant un contenu diversifié alternant nouveautés, actualités, évènements, conseils… Fixez un objectif précis à votre campagne pour la rendre plus impactante auprès de vos lecteurs et parvenir à augmenter le trafic de votre site Internet.

Des emails visuellement attractifs, bien rédigés et intéressants pour votre cible permettront de capter votre audience.

Pour agrandir la liste de vos contacts, vous pouvez proposer sur votre site Internet ou vos réseaux sociaux des jeux concours ou encore la possibilité de bénéficier de promotions en s’inscrivant à une newsletter. Cela vous permettra d’obtenir les adresses mail de nouveaux prospects. Toutefois, n’oubliez pas que pour envoyer des emails marketing, vous devez avoir le consentement de vos destinataires.

Quel contenu dois-je produire pour intéresser mon audience ?

Vous devez au préalable réfléchir à votre stratégie et définir une ligne éditoriale que vous suivrez lors du partage de vos contenus en identifiant : 

  • Les personnes auxquelles vous souhaitez vous adresser
  • Les sujets intéressants pour votre cible
  • Les supports de communication adaptés (site Internet, réseaux sociaux…)
  • Le type de contenus à produire (articles, photos, vidéos…)
  • La fréquence de publication que vous êtes en mesure de produire

L’objectif de ce partage de contenu est de créer de la valeur ajoutée pour votre audience en lui apportant de nouvelles informations ou des conseils, les dernières tendances… Ainsi, vous valorisez votre savoir-faire ou votre expertise et créez une relation pérenne avec vos prospects ou clients.  

N’oubliez pas d’analyser vos résultats et de suivre vos performances ! En comprenant ce qui plaît ou non, vous serez en mesure de proposer du contenu répondant davantage aux attentes de votre audience.

La CMA Bretagne vous accompagne pour mettre en place une stratégie digitale performante et adaptée à votre entreprise. Pour plus d’informations, vous pouvez également prendre contact avec le conseiller numérique de votre département.

Ça y est, vous avez lancé votre entreprise ? Vous finalisez votre projet ? Et maintenant, vous vous demandez comment trouver vos premiers clients ? Quelle que soit votre activité, la taille ou la forme juridique de votre entreprise, la CMA vous accompagne pour lancer votre activité commerciale.

Crédit photo : Freepik, vectorjuice

1. Trouver le bon positionnement

Pour trouver des clients, il faut leur proposer des produits et services dont ils ont besoin, tout en existant à côté de concurrents parfois installés depuis longtemps. La CMA Bretagne accompagne les porteurs de projet avec une formation de 2 jours pour établir la stratégie commerciale de votre entreprise. Au programme :

  • Trouver mes clients en étudiant le marché et en me démarquant de mes concurrents : étude de marché, sécurisation du projet commercial, prospection et valorisation de l’offre
  • Choisir des outils de communication adaptés à mon entreprise
  • Cibler les actions commerciales les plus pertinentes pour mes clients / futurs clients
  • Définir ma stratégie de communication sur le web

Un formateur professionnel, spécialiste des entreprises artisanales, vous aide à structurer la stratégie commerciale de votre future entreprise. En formation, vous développez votre réseau en rencontrant de futurs artisans dans votre zone géographique.

2. Être visible

Produits, services, éléments caractéristiques, vous avez défini votre positionnement ? C’est maintenant le moment de vous faire connaître. Selon votre activité, la concurrence, votre emplacement et vos possibilités, il existe différentes pistes pour faire connaître votre entreprise.

Une présence en ligne est incontournable pour trouver de nouveaux clients, mais le site internet n’est pas la seule solution. Pour commencer, il est indispensable que les clients potentiels trouvent les informations concernant votre entreprise. Adresse, horaires d’ouverture, contact, éventuel site web… toutes ces précieuses informations sont centralisées sur votre fiche Google My Business. Si vous ne l’optimisez pas, Google s’en chargera de manière automatique. Gare aux fausses informations !

Vous pouvez aussi choisir de créer un compte sur les réseaux sociaux, en fonction de votre cible et de votre activité.

Enfin, tous les moyens d’augmenter votre visibilité sont intéressants à étudier : une carte de visite à laisser à vos clients, un flyer distribué dans les commerces locaux, une affiche, une enseigne, un véhicule floqué à votre nom … l’idée est d’être vu. Et d’être compris. Pensez à diffuser un message clair et précis sur ce que vous faites, facilement compréhensible pour le grand public.

3. Prospecter

La prospection vous permet de développer votre portefeuille clients, afin de développer votre chiffre d’affaires. Parce que la prospection commerciale ne s’improvise pas et qu’il existe des techniques commerciales efficaces et reconnues, il est intéressant de se former. La CMA a développé une formation pour Trouver et fidéliser de nouveaux clients. Au programme de cette formation d’une journée :

  • Analyser son marché
  • Construire un plan d’action personnalisé
  • Préparer, organiser et structurer sa démarche de prospection
  • Apprendre à faire de la relance
  • Prévoir des techniques pour fidéliser sa clientèle

Cette formation est dispensée dans tous les départements bretons.

4. Cultiver son réseau

Le bouche-à-oreille est très important pour l’image de l’entreprise. En effet, un client satisfait parlera de vous à son entourage. Aujourd’hui, le bouche à oreille passe également par les outils numériques. Les clients peuvent noter vos services sur votre fiche Google My Business. Alors n’hésitez pas à leur demander de vous laisser un commentaire une fois votre prestation terminée. Il est important de bien créer et optimiser sa fiche établissement sur Google.

Le réseau passe également par les autres entreprises. Avoir de bonnes relations avec les entreprises locales est précieux. En formation à la CMA Bretagne, vous rencontrez d’autres chefs d’entreprises, avec lesquels vous pouvez partager vos interrogations, vos solutions et pourquoi pas mutualiser certaines actions !

5. Fidéliser !

Acquérir un nouveau client peut coûter 4 à 5 fois plus cher que de fidéliser un client déjà existant. La fidélisation passe par de nombreux leviers : un service client irréprochable, des promotions, une carte de fidélité, la création d’une communauté. Et comme votre fichier client constitue un véritable trésor, il doit être chouchouté. La formation Trouver et fidéliser de nouveaux clients vous donne les bases pour fidéliser ans sortir d’une école de commerce !

Pour en savoir plus, découvrez toutes les formations liées au développement commercial !

Quelles que soient la taille, la forme juridique et l’ancienneté de votre entreprise, vous pouvez répondre aux marchés publics. En effet, les marchés publics ne sont pas réservés aux grandes entreprises. Véritable source de chiffre d’affaires, répondre à une commande publique présente de nombreux avantages. 

Crédit photo : Freepik

Un marché public, c’est quoi ?

« Un marché public est un contrat conclu à titre onéreux entre un acheteur public ou privé et un opérateur économique public ou privé. Ce marché doit répondre aux besoins de l’acheteur en matière de travaux, de fournitures ou de services. » (site entreprendre.service-public)

Quels sont les principes du marché public ?

Les marchés publics répondent à trois grands principes :

  • Liberté d’accès au marché public, garantie par la publicité diffusée par l’acheteur (obligatoire pour les marchés dont le montant est supérieur à 40 000€ HT)
  • Egalité de traitement des candidats, grâce à un cahier des charges objectif. Toutes les offres reçues dans les délais sont examinées.
  • Transparence des procédures : les critères de choix sont communiqués dès la publicité.

Qui peut répondre à un marché public ?

Toutes les entreprises, quelles que soient leur taille, leur ancienneté et leur forme juridique peuvent répondre à un marché public, dès lors que leur activité est en rapport avec les prestations demandées.

Pourquoi répondre à un marché public ?

Positionner son entreprise sur des marchés publics présente de nombreux avantages :

  • L’opportunité d’accroître son chiffre d’affaires dans la durée
  • La visibilité des chantiers dans le temps
  • La certitude d’être payé sous 30 jours maximum
  • La possibilité d’obtenir Une avance de 20% ou plus à la notification du marché
  • La possibilité de présenter des factures d’acompte
  • Une candidature simple et gratuite sur une des plateformes en accès gratuit (dont Megalis)
  • Une avance financière possible par les établissements bancaires pour d’approvisionner en fournitures

Comment répondre à un marché public ?

Pour répondre à un marché public, il faut déjà avoir connaissance des appels d’offres. La communication publique n’est pas systématique :

En-dessous de 40 000€ HT pour les marchés de fournitures et les marchés de services (et 100 000€ HT pour les marchés de travaux), les acheteurs n’ont pas d’obligation de publicité et de mise en concurrence préalable. Il faut choisir une offre pertinente et ne pas solliciter systématiquement la même entreprise. Les collectivités ont parfois l’habitude de solliciter des artisans de leur territoire. D’où l’importance de vous faire connaître.

Au-delà de 40 000€ HT, l’acheteur public a obligation de publicité. Dans ce cas, il vous faut faire de la veille :

Vous pouvez également vous associer à une ou plusieurs autres entreprises, dans le cadre de groupement momentané d’entreprises, pour accéder à des marchés de plus grande envergure.

Une fois que vous avez identifié le marché auquel vous souhaitez répondre, il vous faut :

  • Créer un compte gratuitement sur la plateforme concernée
  • Télécharger toutes les pièces du dossier de consultation des entreprises
  • Transmettre votre candidature et votre offre par voie électronique, sans obligatoirement la signer.
  • Transmettre vos questions ou demandes d’informations à l’acheteur uniquement par voie électronique.
  • Prendre connaissance des pièces demandées dans le règlement de consultation et les fournir dans votre réponse à l’appel d’offres
  • Déposer votre candidature et votre offre sur le profil d’acheteur de la collectivité
  • Recevoir les informations et les décisions des acheteurs (lettre de rejet, notification, etc…) par voie électronique.
  • Signer électroniquement le marché (la signature est obligatoire uniquement pour l’attribution du marché).

Pour répondre efficacement à un marché public et maximiser vos chances de le remporter, la CMA Bretagne vous propose une formation : Décrocher un marché public.


Pour créer une entreprise, il existe de nombreuses aides et subventions. Aides de l’état, dispositifs régionaux, la CMA Bretagne vous aide à y voir plus clair !

Créer mon entreprise : les aides de l’Etat

L’ACRE : l’aide à la création ou à la reprise d’une entreprise

Il s’agit d’une exonération partielle des charges sociales, destinée aux personnes qui créent ou reprennent une entreprise à titre indépendant. Si la création ou la reprise concerne une société, il faut en exercer le contrôle pour pouvoir bénéficier de cette aide à la création.

Pour qui ?

Les travailleurs indépendants ne relevant pas du régime micro social ainsi que les travailleurs indépendants relevant du régime micro et entrant dans l’une des catégories suivantes : demandeurs d’emploi, bénéficiaires de l’ASS ou du RSA, porteur de projet entre 18 et 26 ans, conjoint collaborateur … Consultez la liste exhaustive pour savoir si vous pouvez bénéficier de l’ACRE, aide de l’Etat pour créer votre entreprise.

Comment en bénéficier ?

Travailleurs indépendants au régime micro-entreprise : remplir le formulaire URSSAF au moment du dépôt du dossier de création ou de reprise. Pour les travailleurs indépendants hors régime micro, l’exonération est automatique, à condition de ne pas avoir bénéficié de l’ACRE dans les 3 années précédentes. Découvrez comment demander l’ACRE.

Pour aller + loin :

Le prêt d’honneur Initiative France

Prêt à la personne accordé sans aucune garantie, ce prêt à taux zéro a été créé pour soutenir les projets d’entreprise. Au-delà du coup de pouce financier, il facilite l’obtention de prêts bancaires et permet de renforcer les fonds propres de l’entreprise.

Pour qui ?

  • Porteurs de projet accompagnés par un opérateur d’accompagnement (dont la CMA)
  • Tous types d’entreprise, excepté les associations, fondations et SCI

Quel montant ?

C’est un prêt d’honneur à taux zéro :

  • Sans garantie sur les actifs de l’entreprise ou de son dirigeant ;
  • Remboursable sur 2 à 5 ans
  • D’un montant compris entre 3 000 et 7 500€ pour une création et jusqu’à 25 000€ pour la reprise d’une entreprise avec des salariés
  • Financement bancaire complémentaire obligatoire

Comment en bénéficier ?

Pour aller + loin :

La CMA accompagne les créateurs d’entreprise avec des formations pour découvrir comment gérer et piloter une entreprise et pour mettre en place une stratégie commerciale efficace. Ces formations sont éligibles pour une prise en charge par le CPF.

Le microcrédit de l’ADIE

Ce dispositif permet de soutenir les porteurs de projet qui n’ont pas accès au crédit bancaire.

Pour qui ?

  • Créateurs ou repreneurs n’ayant pas accès au prêt bancaire.
  • Tous types d’entreprise, tous secteurs d’activité.
  • Une personne de l’entourage doit se porter garante.

Quel montant ?

12 000€ maximum

En complément, il est possible d’obtenir un prêt à taux zéro d’un montant de 3000 à 5 000€.

Comment en bénéficier ?

  • Prendre rendez-vous avec l’ADIE
  • Apporter les documents le jour du rendez-vous : justificatif de revenus, 3 derniers relevés de comptes bancaires personnels et professionnels (si déjà en activité), pièce d’identité, permis de conduire (pour l’achat / réparation d’un véhicule)
  • Réponse sous 10 jours. Une fois le dossier accepté, l’argent est débloqué dans les 48h.

Pour aller + loin :

https://www.adie.org/pour-creer-ou-developper-mon-entreprise/

Je contacte la CMA

Les garanties bancaires

La garantie bancaire couvre tout ou partie de l’emprunt, en cas de défaillance de l’emprunteur. Selon les organismes, vous pouvez recevoir une garantie de financement pour votre projet de création, de reprise ou de développement.

FRANCE ACTIVE GARANTIE (BRETAGNE ACTIVE) :

  • Garantie de financement pour création, reprise & développement
  • Garantie à hauteur de 50 à 80% selon les projets
  • Plafond de garantie maximum de 50 000€
  • Éligibilité : inscription à Pôle Emploi
  • Caution personnelle exclue ou limitées selon les projets

AUTRES GARANTIES :

  • BPI France
  • SIAGI
  • SOCAMA (réseau BPGO)

Pour qui ?

Profil variable selon les organismes. Par exemple, pour bénéficier de la garantie France Active Bretagne, il faut être inscrit à Pôle Emploi.

Quel montant ?

Variable selon les organismes.

Pour aller + loin :

La CMA accompagne les créateurs d’entreprise avec des formations pour découvrir comment gérer et piloter une entreprise et pour mettre en place une stratégie commerciale efficace. Ces formations sont éligibles pour une prise en charge par le CPF.

Créer mon entreprise : les aides régionales

La Région Bretagne soutient les porteurs de projets en proposant des aides à la création et développement des entreprises.

Pass Création

Faites-vous accompagner par un conseiller expert en création d’entreprise. Cet accompagnement individuel gratuit (financé par la Région Bretagne), se déroule en 3 étapes :

  • Montage du projet avec un conseiller
  • Structuration financière : comment financer votre projet
  • Suivi pendant 3 ans avec un conseiller en entreprise pour vous aider à gérer et à piloter votre activité

Ainsi, vous sécurisez votre création d’entreprise et vous assurez la viabilité économique de votre activité.

Pour qui ?

  • Tous statuts d’entreprise
  • Tous secteurs d’activité (sauf production agricole et pêche)

www.bretagne.bzh/aides/fiches/pass-creation

Le Pass Commerce Artisanat

Cette aide est une subvention financée par la Région Bretagne et les EPCI (Etablissements Publics de Coopération Intercommunale, également appelés les communautés de communes). Elle finance 30% des investissements matériels, immobiliers ou immatériels de votre projet. Par exemple, des prestations numériques ou un accompagnement pour mettre en place la stratégie commerciale de votre entreprise.

Pour qui ?

  • Entreprises commerciales ou artisanales indépendantes immatriculées
  • Critères variables selon la commune

Combien ?

  • 7 500€ maximum d’aide
  • Dépense minimum : 6 000€ HT (2 000€ HT pour les prestations numériques)
  • Aide : 30% de l’investissement

Comment en bénéficier ?

Contactez la CMA Bretagne

Le financement participatif

Également appelé crowdfunding, il permet de collecter des fonds via une plateforme internet. En plus de trouver des contributeurs qui veulent soutenir votre projet, ce mode de financement permet de lui donner de la visibilité. Et donc de commencer à recruter vos futurs clients !

Consultez le site France Relance, afin de découvrir toutes les aides nationales et régionales mises en place pour soutenir l’économie locale.

Quel que soit votre projet, contactez la CMA Bretagne pour connaître toutes les aides et subventions auxquelles vous avez droit. Nos conseillers en entreprise sont là pour vous accompagner vers la réussite de votre projet.

Pour en savoir +

Je contacte la CMA

Formulaire de contact

Nom(Nécessaire)
MM slash JJ slash AAAA

Politique de confidentialité

https://www.cma-bretagne.fr/politique-de-confidentialite/
Ce champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé.

Inscription, modalités, types de formation… nous répondons à toutes les questions que vous vous posez concernant la formation continue.

Crédit : Freepik

Comment m’inscrire à une formation ?

  • Sur internet
  • OU
  • En nous adressant un bulletin d’inscription

Comment se déroule une formation ?

Une journée de formation dure généralement 7 heures, parfois 8 heures avec une pause déjeuner.

Le formateur commence par recueillir vos attentes et évaluer vos connaissances.

La formation se déroule en salle ou sur plateau technique. Nous proposons aussi des formations à distance.

La formation est riche de différentes modalités d’animation pour favoriser l’apprentissage et les échanges : démonstrations par le formateur, jeux de rôles, mise en situation pratique, expérimentations, travail en binôme…

Comment faire si je suis en situation de handicap ?

Nous vous invitons à nous contacter pour que nous mettions les mesures nécessaires au bon déroulement de votre formation (accueil, accompagnement, aménagement….) et s’il y a lieu, vous mettre en relation avec notre référent handicap ou toute structure habilitée.

Qui sont les formateurs ?

Nos formateurs sont des professionnels avec une expertise sur un domaine précis.  Vous serez encadrés par des chefs d’entreprise, des anciens apprentis en activité, des MOF (Meilleur Ouvrier de France) ou encore des champions du monde qui vous apporteront leurs conseils et leur savoir-faire.

Qu’est-ce qu’une formation transversale ? 

Il s’agit de formation pour acquérir des compétences transverses dans différents domaines : bureautique, numérique, comptabilité, juridique, ressources humaines, développement personnel, développement commercial, sécurité.

Qu’est-ce qu’une formation technique ? 

Que ce soit pour vous perfectionner dans votre métier ou pour apprendre une technique particulière, nous mettons à votre disposition de nombreuses formations techniques, toutes liées aux métiers artisanaux.

Se former, c’est évoluer, c’est grandir en compétences et avoir un coup d’avance ! 

C’est aussi prendre du plaisir à apprendre et vivre une expérience à la portée de tous ! Se former, c’est se donner les chances de gagner en confiance en soi et en estime de soi. A vous de jouer !  Suivre une formation vous permettra de vous perfectionner dans votre métier, de développer des compétences supplémentaires et de mieux répondre aux attentes du marché de l’emploi.

Crédit : Freepik

Comment choisir ma formation ?

L’enjeu est de choisir la formation qui sera la mieux adaptée à votre profil et à vos objectifs professionnels pour : 

Agir sur mon parcours personnel et professionnel :

  • Mieux connaître et comprendre mon environnement
  • Développer mes capacités d’adaptation
  • Anticiper un changement de situation
  • Repérer des opportunités et les saisir
  • Acquérir des connaissances et continuer à apprendre

Faciliter l’accès à l’emploi pour :

  • Me plonger ou me replonger dans un milieu professionnel
  • Évoluer professionnellement
  • Réactualiser mes compétences professionnelles ou générales
  • Changer d’orientation pour aller vers un autre métier
  • Acquérir une qualification professionnelle
  • Créer mon entreprise

Pourquoi me former à la CMA Bretagne ? 

En choisissant de suivre une formation avec la CMA Bretagne, vous bénéficiez de nombreux avantages :

  • Une expertise reconnue depuis près de 90 ans
  • Un large choix de formations avec plus de 200 formations courtes
  • Une présence terrain près de chez vous
  • Une équipe dédiée à votre écoute
  • Des formateurs reconnus

L’accès à la formation peut se faire tout au long de la vie, et pour toute personne engagée dans la vie active (y compris les demandeurs d’emploi).

La formation continue permet à chacun, indépendamment de sa situation, de conforter, d’améliorer ou d’acquérir des connaissances et des compétences professionnelles. Elle favorise l’évolution professionnelle et l’amélioration des qualifications de chacun.

Crédit : Freepik

La formation continue, c’est pour qui ?

  • Pour un dirigeant qui forme ses salariés, cela permet une meilleure compétitivité de son entreprise, grâce à une adaptation et une évolution à l’environnement qui l’entoure.
  • Pour un chef d’entreprise, la formation continue est une réponse à son environnement qui ne cesse d’évoluer : nouvelles réglementations, nouveaux besoins de la clientèle, évolution des outils numériques…
  • Pour un salarié, la formation continue lui permet de développer ses compétences, de s’adapter aux évolutions de son poste, de favoriser des mobilités internes ou externes
  • Pour un demandeur d’emploi, la formation lui permet d’entrer ou de réinsérer sur le marché du travail, de changer d’orientation, de se reconvertir.

Où et comment se former ?

La Chambre de Métiers et de l’Artisanat de région Bretagne vous accompagne dans le développement de vos compétences et vos connaissances, que vous soyez dirigeants, collaborateurs ou salariés d’entreprises artisanales en vous proposant un large choix de formations conçues pour répondre à vos besoins et s’adapter à votre emploi du temps.

Vous avez engagé votre entreprise dans une démarche écologique et vous aimeriez le faire savoir à vos clients ? Vous avez envie d’aller plus loin sur le chemin de la transition environnementale et sociétale ? Depuis le début des années 2000, la CMA Bretagne est engagée aux côtés des artisans bretons, en faveur du développement durable. Nous proposons aux professionnels de la région des opérations collectives ainsi que des actions ciblées, afin de vous aider dans cette aventure. Découvrez les dispositifs ainsi que les labels réunis sous la bannière Envir’A !

Réduire le gaspillage alimentaire dans mon entreprise

Chaque année, un boucher-charcutier-traiteur jette en moyenne 3,6 tonnes de nourriture, soit une perte de 9 949€ sur son chiffre d’affaires*. Et une énorme quantité de produits alimentaires gaspillés…

Réduire les pertes et les invendus afin d’améliorer la marge brute de mon entreprise ET le faire savoir à mes clients, c’est possible. Et en plus, c’est simple. En 2020, 63 artisans bretons ont expérimenté le dispositif Artisan Zéro Gaspi. Ce programme est co-financé par l’ADEME (Agence de la Transition Ecologique) et la CMA Bretagne.

Comment devenir Artisan Zéro Gaspi ?

  1. Le conseiller environnement de votre territoire se rend dans votre entreprise afin de réaliser un diagnostic personnalisé. Il mesure votre performance « gaspillage alimentaire ».
  2. En fonction de votre score, il vous propose des outils et des préconisations pour vous aider à améliorer vos pratiques
  3. Vous avez atteint le score vert ? Vous êtes labellisé Artisan Zéro Gaspi et votre conseiller environnement vous remet votre kit de communication.
  4. Vous pouvez communiquer auprès de vos clients !

Contribuer à prolonger la vie des objets ou leur donner un nouveau départ

77% des européens préfèrent réparer un appareil plutôt que de le remplacer**.

Réparer permet de prolonger la vie des objets et éviter qu’ils n’arrivent prématurément dans les ordures. Véritable maillon de l’économie circulaire, la réparation participe à la réduction de nos déchets. Depuis 2015, plus de 700 artisans bretons se sont engagés dans la communauté Répar’Acteurs.

Pourquoi devenir artisan Répar’Acteur ?

  • Pour bénéficier du label, reconnu par les clients
  • Pour être référencé sur l’annuaire des artisans engagés dans la réparation
  • Pour recevoir le kit de communication
  • Pour faire partie du réseau des artisans bretons engagés qui réparent

Comment devenir artisan Répar’Acteur ?

En contactant le conseiller environnement de mon territoire.

Valoriser l’engagement de mon entreprise en faveur du développement durable

L’économie circulaire est désormais un incontournable, véritable facteur clé de performance et de compétitivité du développement économique des entreprises. Pour les accompagner, la CMA Bretagne et ses partenaires l’Ademe et le Conseil Régional, expérimentent depuis 2018 le dispositif « Eco-défis des commerçants et artisans ». Le principe ? Vous choisissez au moins 3 défis à relever, parmi 39 proposés. Déchets, produits, énergie, eau, mobilité ou sociétal, vous déterminez les thématiques dans lesquelles vous pouvez vous engager. Chaque défi relevé vous apporte des étoiles, qui vous permettent d’obtenir le label Eco-Défis.   

Pourquoi relever des éco-défis ?

  • Pour valoriser vos démarches en faveur de l’environnement auprès de vos clients
  • Pour bénéficier de conseils personnalisés afin d’améliorer vos pratiques
  • Pour profiter de la communication locale autour de cette opération collective
  • Et pourquoi pas devenir le Coup de Cœur du département et bénéficier d’une vidéo de promotion de votre entreprise

Pour m’engager dans la transition environnementale, je contacte mon conseiller environnement

  • Côtes-d’Armor : Fanny LE LOUËT / 02.96.76.27.17 / fanny.lelouet@cma-bretagne.fr
  • Finistère : Hervé MOGUEROU / 06.84.81.83.45 / herve.moguerou@cma-bretagne.fr
  • Ille-et-Vilaine : Karine LECOQ / 02.99.65.58.73 / karine.lecoq@cma-bretagne.fr
  • Morbihan : Maëlle Le Brun / 06 08 57 78 02 / maelle.lebrun@cma-bretagne.fr